John Zerzan se penche ici sur trois concepts opératoires de l’esclavage consenti : la mesure du temps, le comptage de tout ce qui existe et le langage.
Comment en sommes-nous arrivés là ? Il nous rappelle comment le primat du quantitatif a entraîné la dépossession de nos plus vitales facultés mentales et physiques. De là, la prolifération des nuisances toxiques, la dissolution des liens sociaux et l’hébétude des individus.