Cinq mois après la farce référendaire du 29 mai, les apparatchiks syndicaux poursuivent leur œuvre de mutilation des mouvements sociaux.
Mal décrassés de leurs dogmes staliniens, ces nouveaux jésuites n’ignorent pas qu’il faut toujours laisser un os à ronger aux frondeurs.
L’essentiel, pour eux comme pour leurs petits potes politiciens, est de continuer à tirer privilèges de leur rôle de garants de la docilité des pauvres.
C’est bien ce qui en fait à jamais des ennemis de la TNT.